Les nouveaux et éventuels inventeurs ainsi que les requérants de marques de commerce récentes peuvent être des cibles faciles pour les escroqueries courantes en matière de propriété intellectuelle.
- En règle générale, ces escroqueries appartiennent à l’une des deux catégories :
- Escroqueries liées à la promotion d’invention.
- Escroqueries liées à l’inscription d’un courrier/courriel et au paiement.
- Escroqueries liées à la promotion d’invention :
- Publicité intensive pour donner de la légitimité : publicités télévisées diffusées tard le soir, émissions d’entretiens télévisés pendant la journée, magazines, journaux.
- La publicité est généralement destinée aux pensionnés et retraités vulnérables et aux jeunes adultes.
- Affirmations spécieuses de « gros retours d’argent pour votre idée ».
- Communication vague de succès antérieurs.
- La publicité est généralement destinée aux pensionnés et retraités vulnérables et aux jeunes adultes.
- Les promesses fallacieuses commencent souvent par une consultation « gratuite » qui peut inclure des garanties implicites de délivrance d’un brevet.
- Les représentants commerciaux des escrocs répondront avec enthousiasme à chaque idée, même si bon nombre de ces idées ne sont pas brevetables en raison de leur évidence ou de leur manque de nouveauté.
- Des forfaits surévalués sont vendus aux inventeurs. Leur idée étant médiatisée, et à la pensée que les $$$ vont entrer, les inventeurs seront désormais entraînés vers la grande arnaque - un forfait complet qui comprend probablement une évaluation de l’idée, un rapport de commercialisation et un brevet.
- Ce forfait tend à inclure l’affirmation selon laquelle l’idée sera présentée et commercialisée auprès de toutes les grandes entreprises et personnes liées à la « société » de promotion des inventions
- Ces forfaits plus volumineux coûtent de 10 000 à 20 000 $ et plus.
- Des rapports d’évaluation/de recherche d’antériorité réutilisés sont remis à l’inventeur et contiennent du matériel « en boîte » avec des modifications mineures apportées à l’invention en question.
- Les résultats communiqués seront extrêmement positifs pour inciter l’inventeur à investir davantage dans le marketing.
- Les résultats n’incluront aucune éventuelle antériorité ou aucune information négative qui pourrait empêcher l’inventeur d’acheter le forfait.
- La rédaction des brevets sera sous-traitée à l’entrepreneur le moins cher disponible, souvent un dans un autre pays ou continent qui ne communique pas avec l’inventeur. La qualité du travail reflétera les coûts.
- Les escrocs ne déposent souvent qu’une demande de brevet provisoire qui expire après un an.
- Le marketing et la promotion comprendront à peine plus que l’envoi par la poste d’une description de l’invention ou d’une copie de la demande provisoire à une liste de distribution standard comprenant de nombreuses entreprises et personnes qui n’ont aucun intérêt à investir dans la PI.
- Publicité intensive pour donner de la légitimité : publicités télévisées diffusées tard le soir, émissions d’entretiens télévisés pendant la journée, magazines, journaux.