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Boîtes à outils pour entrepreneures canadiennes faisant des affaires avec l’Union Européenne

Table des matières

Introduction

Pourquoi s’intéresser au marché de l'UE si l’on n'y vend pas encore ses produits ou services ? Comment les entrepreneures canadiennes peuvent-elles profiter des avantages offerts par l'accord de libre-échange entre le Canada et l'UE, l’Accord Economique et Commercial Global (AECG) ? Quels sont les principaux défis que vous aurez à relever en tant qu’exportatrice ? Comment tirer parti des réseaux et ressources existants pour les prévenir et les surmonter ?

Pour répondre à ces questions, Susan Baka, l'une des fondatrices de l'Organization of Women in International Trade (OWIT) à Toronto, a rassemblé des conseils et des renseignements sur le terrain provenant du Service des délégués commerciaux (SDC), du réseau Femmes d’affaires en commerce international (FACI) et d’entrepreneures canadiennes qui ont exporté avec succès vers l'UE. Vous trouverez dans les pages qui suivent une multitude d'informations, de perspectives et de conseils concernant :

On gardera à l'esprit que les demandes des consommateurs et les possibilités commerciales peuvent varier notablement d'un État membre à l'autre et d'un secteur à l'autre. N'hésitez pas à contacter notre équipe de délégués commerciaux au sein de l'UE pour obtenir des conseils et des informations sur mesure pour votre produit ou service.

Pour une vue d'ensemble de l'Union européenne (UE) et de la législation européenne pertinente concernant les exportations vers l'Europe, veuillez consulter Exporter vers l'UE - Un guide pour les entreprises canadiennes. Ce guide fournit certaines informations clés nécessaires pour accéder au marché de l'UE et répond à certaines des questions les plus courantes des exportateurs canadiens sur des sujets tels que la conformité ou le marquage CE, les droits de douane, les droits de propriété intellectuelle, la protection des données et la réglementation environnementale.

Liste de contrôle pour les exportatrices

Cette boîte à outils contient des ressources et des conseils pratiques afin d'aborder cette liste de contrôle conçue pour les femmes qui souhaitent développer leur entreprise dans l'UE :

  1. Évaluer le degré de préparation de votre entreprise : répondez au questionnaire du SDC, obtenez votre score et assurez-vous d’être prête
  2. Veiller à disposer de ressources financières en suffisance : vérifiez les sources de financement au niveau fédéral et provincial, en commençant par celles consacrées aux entreprises appartenant à des femmes, comme le suggère l'annexe
  3. Étudiez votre ou vos marchés cibles : votre produit ou service peut-il trouver un marché intéressant dans l'UE ? Tout dépend de la diversité des langues, des préférences des consommateurs, des tendances du marché et des cultures
  4. Voyagez (virtuellement) vers l’UE : salons professionnels, conférences et séances de réseautage sont d'excellentes occasions d'explorer le potentiel du marché et de nouer des contacts utiles, en particulier dans l'UE qui est souvent définie comme un marché « relationnel »
  5. Tirez parti des réseaux de femmes existants au Canada et au sein de l'UE : consultez la liste exhaustive des organisations dirigées par des femmes en annexe
  6. Identifiez les dispositions de l'AECG qui peuvent profiter à votre entreprise : élimination des droits de douane sur 98 % des produits, amélioration de l'accès au marché pour les prestataires de services, amélioration de la mobilité de la main-d'œuvre, rationalisation des procédures douanières, etc
  7. Renseignez-vous sur les exigences réglementaires applicables à votre produit/service et protégez votre propriété intellectuelle : songez à consulter les guides SDC concernant l’exportation de produits et services vers l’UE
  8. Assurez vos arrières : trouvez comment réduire les risques financiers propres au commerce international, par exemple grâce aux programmes d'assurance offerts par Exportation et développement Canada (EDC)

Avis

Le présent guide :

Sauf indication contraire, toutes les mentions du symbole « $ » et le mot « dollar » désignent le dollar canadien.

Trois raisons pour lesquelles le marché de l’UE doit intéresser les professionnelles de l’exportation

(1) L’accès à un marché attractif pour les exportatrices canadiennes

Les entreprises canadiennes détenues par des femmes exportent déjà davantage vers l'Europe que celles détenues par des hommes. En 2017, 37 % des exportateurs contrôlés à 100 % par des femmes vendaient des produits et des services en Europe, contre seulement 25 % de ceux contrôlés à 100 % par des hommes.

Pourquoi ? Parce que les Canadiennes voient très justement l'UE comme un marché attractif. Avec plus de 446 millions de consommateurs et un Produit Intérieur brut (PIB) de 26 000 milliards de dollars, l'UE est le plus grand bloc commercial du monde et le principal partenaire commercial du Canada après les États-Unis. C'est aussi un marché unique intégré, partageant les mêmes règles, la libre circulation transfrontalière et une monnaie commune à 19 pays.

Le marché de l'UE offre de nombreux débouchés commerciaux, notamment dans le secteur des services et dans certains créneaux comme l'alimentation ou la santé, où les entrepreneures canadiennes ont de nombreux atouts à faire valoir.

(2) Avantages d’un accès préférentiel au marché de l’UE grâce à l’AECG

L'Accord économique et commercial global (AECG) est un accord de libre-échange entre l'UE et le Canada qui est entré en vigueur en 2017. Il accorde aux exportateurs canadiens un accès préférentiel à l'UE, ouvrant ainsi des opportunités commerciales dans 27 États membres.

L'AECG couvre pratiquement tous les secteurs du commerce entre le Canada et l'UE, notamment grâce à :

À quelques exceptions près, l'AECG permet aux entreprises canadiennes de fournir des services dans l'UE de la même manière que celles de l'Union. Il simplifie également les dispositions relatives à la mobilité de la main-d'œuvre, ce qui est particulièrement important pour les entreprises de services dont les salariés doivent souvent voyager et travailler temporairement dans l'UE. Ces avantages sont essentiels, car la majorité des entreprises détenues par des femmes sont des prestataires de services.

Il est déjà prouvé que les femmes bénéficient spécifiquement de l'AECG. Dans l'année qui a suivi son entrée en vigueur (2018), le Service des délégués commerciaux en Europe a vu une augmentation de 50 % de ses services aux entreprises détenues par des femmes et un doublement de ses succès facilités pour les entreprises détenues par des femmes.

(3) Mettre à profit les réseaux établis afin d’accéder au marché de l’UE

Au-delà des statistiques et des chiffres, faire affaire avec l'UE est un choix naturel car le Canada et l'UE partagent des valeurs comparables, et nos sociétés, philosophies et politiques – y compris celles liées au genre – sont de plus en plus interdépendantes.

Il existe de nombreuses organisations de femmes et d'entreprises similaires dans l'UE avec lesquelles il est possible de nouer des contacts et de trouver des partenaires potentiels. Le gouvernement canadien apporte également un soutien important pour aider les entreprises à tirer parti du marché de l'UE et de l'AECG par le biais d'activités telles que les missions commerciales de femmes organisées par Femmes d’affaires en commerce international (FACI) et de ressources telles que le Service des délégués commerciaux du Canada. Voir la liste de contacts and ressources de première importance.

Mobilité de la main-d’œuvre en vertu de l’AECG

L'AECG facilite l'entrée de professionnels et de femmes et d'hommes d'affaires canadiens hautement qualifiés sur le marché de l'UE, pour des séjours temporaires et de plus longue durée. La mobilité de la main-d'œuvre est réglementée en termes de critères de séjour, de durée et en fonction du type d'activité visée.

Tout d'abord, vous devrez déterminer si vous appartenez à l'une des catégories de voyageurs d'affaires qui peuvent bénéficier des dispositions relatives à la mobilité de la main-d'œuvre dans le cadre de l'AECG, à savoir :

  1. les prestataires de services contractuels et les professionnels indépendants qui se rendent dans l'UE pour exécuter un marché de services dans l'un des secteurs énumérés à l'annexe 10-E, qui comprend les services médicaux et dentaires, les services vétérinaires ou les services d'enseignement supérieur
  2. le personnel clé, ce qui comprend le personnel transféré entre bureaux affiliés au Canada et l’UE (c'est-à-dire, les « personnes transférées à l’intérieur d’une entreprise »), les investisseurs et les visiteurs en déplacement d’affaires à des fins d’investissement
  3. les visiteurs en déplacement d’affaires à court terme pour l’une des activités énumérées dans l’annexe 10-D de l’AECG, y compris réunions et consultations, séminaires de formation, transactions commerciales, études de marché ou foires et expositions

Ensuite, vous devrez vérifier la procédure de demande et la durée maximale de séjour applicable à votre catégorie de voyageurs d'affaires :

  1. Les prestataires de services contractuels et les indépendants peuvent obtenir un permis de travail d'une durée maximale de 12 mois, avec possibilité de prolongation
  2. Les personnes transférées à l'intérieur d'une entreprise en tant que spécialistes ou cadres supérieurs peuvent rester jusqu'à 3 ans, à moins que la durée du contrat ne soit inférieure. Elles peuvent également demander une prolongation allant jusqu'à 18 mois
  3. Les visiteurs en déplacement d'affaires à court terme et les visiteurs en déplacement d'affaires à des fins d'investissement ne peuvent obtenir une autorisation de séjour temporaire que pour un total de 90 jours au maximum
  4. Les investisseurs peuvent rester pour une période initiale maximale d’un an, avec possibilité de prolongation

Enfin, n'oubliez pas de vérifier si des restrictions ou exceptions spécifiques s'appliquent au niveau des États membres. Par exemple, l'annexe 10-B contient des réserves spécifiques aux États membres qui s'appliquent aux visiteurs d'affaires à court terme et au personnel clé.

Notez que les dispositions de l'AECG en matière d'entrée et de séjour temporaires ne couvrent pas les emplois généraux ou peu qualifiés et que ces dispositions ne traitent pas de l'emploi permanent, de la citoyenneté, de la résidence ou de toute exigence de visa.

Grandes tendances du marché et opportunités pour les exportatrices

Les entrepreneures canadiennes sont beaucoup plus nombreuses dans les secteurs des services que dans les industries de production de biens. Un examen des Petites et Moyennes Entreprises (PME) détenues par des femmes par secteur industriel montre qu'elles sont plus susceptibles d'être prestataires de services, notamment dans les secteurs de la santé et de l'assistance sociale, de l'éducation, de la culture et de l'alimentation ou dans le commerce de détail que dans l'agriculture, la construction et la fabrication. Notons que, compte tenu des préoccupations concernant la faible présence des femmes dans les Technologies de l’Information et de Communication (TIC), les comparaisons mondiales montrent que les femmes canadiennes sont fortement représentées dans ce secteur. Si leur proportion reste inférieure à une sur dix (7,1 %), elle reste au moins deux fois plus élevée qu'aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Suède, en Australie, à Taïwan ou aux Pays-Bas.

Vous trouverez ci-dessous une sélection des principales tendances du marché ressortant des entretiens avec les exportatrices et les délégués commerciaux canadiens sur le terrain. Bien qu'il existe des opportunités d'affaires dans pratiquement tous les secteurs, ces tendances jouent spécifiquement sur les forces des entrepreneures canadiennes et mettent en évidence des possibilités dans divers sous-secteurs.

En raison des différences de préférences des clients et de potentiel de marché entre les États membres et les secteurs de l'UE, il est conseillé de consulter un délégué commercial local pour discuter de votre situation et des possibilités de vendre vos produits ou services particuliers à l'étranger.

(1) Produits alimentaires et alimentation saine

Seuls 2 % des importations agroalimentaires de l'UE proviennent du Canada. Grâce à l'élimination des droits de douane élevés dans le cadre de l'AECG, les produits agroalimentaires canadiens ont de meilleures chances d'être commercialisés. Par exemple, des produits comme les jus de fruits et les préparations de légumes, de fruits ou de noix connaissent une forte croissance de leur exportation, avec une augmentation de 41,7 % et 27,1 % respectivement entre 2018 et 2019. Le poisson et les produits de la mer sont également très demandés, l'UE étant le premier importateur mondial de ces produits. Les importations représentent 57 % de la consommation totale de poissons et de fruits de mer de l'UE.

Une autre tendance importante dans le secteur alimentaire est que les consommateurs européens recherchent de plus en plus des aliments sains ainsi que des aliments spécialisés. Lors d'une mission commerciale de FACI en Europe en 2018, les en-cas sains ont été identifiés comme populaires. Les aliments sans gluten et biologiques sont également plus courants qu'en Amérique du Nord.

Il faut garder à l'esprit que l'appétit des consommateurs pour ces produits n'est pas le même d'un État membre à l'autre. En matière d'alimentation biologique, l'Allemagne est en tête du marché européen juste devant la France, avec des marchés d'une valeur respective de plus de 15 milliards et 11 milliards de dollars, tandis que les marchés des pays d'Europe de l'Est sont moins développés jusqu’à présent.

La réglementation canadienne est plus proche de celle de l'UE que de celle des États-Unis et les produits canadiens sont généralement considérés comme de meilleure qualité. Cependant, il faut tenir compte de la diversité des préférences des consommateurs : dans certains pays de l'Union comme la Suède, le fait de présenter des aliments sains comme canadiens est un avantage, mais ce n'est pas le cas dans un pays comme l'Italie, où les produits locaux sont plus populaires. Notez que le Benelux est la porte d'entrée de l'Europe avec une myriade de services pour les exportateurs (logistique, camionnage, réétiquetage, embouteillage, assemblage...).

Shelby Taylor, fondatrice et présidente de Chickapea, qui produit des pâtes biologiques exclusivement à base de pois chiches et de lentilles, se tourne maintenant vers le marché européen pour tirer parti de l'AECG après son succès à l'exportation vers les États-Unis. Son raisonnement : « L'Europe est un peu en avance sur le Canada en termes de mode de vie sain, avec moins d'aliments transformés ». À noter qu'il y a peu de rayons dans les magasins consacrés à l'agriculture biologique et aux modes de vie sains. « C'est intégré, simplement. Et dès lors que les gens ont l'habitude de dépenser une part supérieure de leurs revenus en épicerie et en nourriture, il est plus facile de vendre des produits biologiques de qualité ». Un autre grand avantage est la possibilité de travailler directement avec les détaillants et d'obtenir des marges plus élevées. « Contrairement à l'Amérique du Nord, il n'y a pas de frais de listage, donc il n’y a pas besoin d'autant de fonds au départ et cela donne un modèle de flux de trésorerie plus positif dès le départ. En outre, le volume élevé et la densité de la population, ainsi que la haute acceptation des produits biologiques, en font une opportunité fantastique ».

(2) Durabilité

Des études réalisées en 2009 et 2013 montrent que les incidences sur l'environnement sont le troisième facteur le plus important pour les consommateurs de l'UE, après la qualité et le prix. Tout comme en Amérique du Nord, la demande des consommateurs européens pour des produits issus de sources durables est en hausse, et les fournisseurs canadiens trouveront un marché économiquement viable et en expansion pour ces produits.

Une enquête réalisée au printemps 2019 auprès de détaillants en France, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Espagne a révélé que 98,5 % d'entre eux considèrent la durabilité comme un critère pour l’approvisionnement en produits. Nombre d’entre eux travaillent en partenariat avec leurs fournisseurs pour introduire des normes environnementales et sociales.

On notera que l'UE est également le troisième importateur mondial de produits de technologie propre et qu'il existe une volonté politique considérable au niveau de l'UE pour stimuler les investissements en produits et services verts dans le cadre du « pacte vert ». L'Allemagne est l'un des plus grands marchés de technologies propres et se positionne activement comme un fournisseur de premier plan de solutions technologiques intelligentes complètes. Les objectifs étant de sortir des combustibles fossiles et du nucléaire, l'accent est mis sur la gestion de la transition énergétique.

Jodi Glover, PDG de Real Tech Inc., qui fabrique des technologies de contrôle de la qualité de l'eau, vend depuis une décennie à la plupart des pays d'Europe; 40 % de ses ventes proviennent déjà de la région. Elle espère voir son activité augmenter avec la venue prochaine de nouvelles directives sur la surveillance de la qualité de l'eau dans cette région. De même, les dispositions en matière de mobilité de la main-d'œuvre de l'AECG seront utiles à l'entreprise, qui se développe de plus en plus comme une entreprise de systèmes vendant des technologies et des solutions avancées, et qui devra envoyer davantage de personnes en formation. « Nous n'avons jamais eu peur d'exporter », déclare Jodi Glover. « Ce que nous faisons avec les capteurs et la qualité de l'eau est universel, de sorte que nous pouvons être partout où il y a de l'eau. Le secteur de l'eau et des technologies propres est porteur ».

(3) Services TIC et solutions technologiques en réponse au Covid-19

L'UE est le plus grand importateur de services TIC au monde et un marché en pleine expansion. Pourtant, il existe une diversité dans l'UE en raison des différences de qualité des infrastructures numériques et des disparités dans l'activité en ligne. L'Espagne, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne disposent de grands centres informatiques, tandis que des pays comme la Roumanie, la Bulgarie et l'Italie sont les moins bien placés en termes de connectivité, d'utilisation de l'internet et d'intégration des technologies numériques. La Roumanie, l'Allemagne, Malte, l'Irlande et les Pays-Bas ont enregistré la plus grande amélioration dans ce domaine au cours des dernières années. Ces taux de croissance sont des indicateurs d'opportunités commerciales pour des acteurs externes comme les entreprises canadiennes.

La demande de solutions technologiques pour relever les défis liés à la pandémie de Covid-19 devrait rester élevée, comme l'illustrent les hackathons spécialisés organisés dans toute l'Europe. La crise du Covid-19 a également renforcé une demande déjà élevée de solutions SMACS (Software as a service, cloud, mobilité, nuages, analyse et sécurité). Ceci est dû à des besoins accrus en infrastructures adaptées au travail à distance ainsi qu'en outils pouvant répondre à des cyberattaques en augmentation et plus diversifiées avec la crise du Covid-19.

Teri Marlene Prince, PDG de Terida, société spécialisée dans les solutions polyvalente de cloud computing, a identifié de nombreuses possibilités dans les secteurs européens de la défense et de la finance pour les entreprises qui comprennent la cybersécurité et les risques informatiques, ainsi que les opérations, les règles, les réglementations et la conformité sous plusieurs juridictions. Elle souligne toutefois que l'obtention des autorisations de sécurité nécessaires, ainsi que le respect et le maintien des normes de cybersécurité pour ce travail, nécessitent du temps et un investissement financier, et qu'il est essentiel d'être présent sur le terrain.

(4) Vieillissement de la population et soins de santé

Avec près de 100 millions de personnes âgées de plus de 65 ans, l'UE est la deuxième société au vieillissement le plus rapide dans le monde. La croissance de la « silver economy » crée une demande de services, de produits et de solutions pour les personnes âgées, allant des vêtements de sport aux vêtements de compression et aux aides médicales. Les préoccupations quant au vieillissement de la population active et à la formation d'une main-d'œuvre diversifiée peuvent également permettre aux Canadiennes d'apporter leur expertise en matière de conseil et de programmes d'intégration de la dimension de genre et de la diversité sur le lieu de travail.

Une plus grande attention politique portée aux soins de santé, en particulier dans le cadre de l’après-Covid-19, est susceptible d'accélérer la mise en œuvre de solutions innovantes dans ce domaine et d’ouvrir davantage de perspectives commerciales. Ainsi, le secteur des soins de santé était déjà une priorité pour l'Allemagne, avec un accent sur la santé intelligente, la technologie médicale, le vieillissement et la numérisation. Le pays est aussi le plus grand marché biotech d'Europe. Son système de santé étant à la traîne en matière de numérisation et de solutions numériques, il existe d'excellentes possibilités d'exportation et de partenariat pour les fournisseurs canadiens de solutions de santé innovantes.

(5) Commerce électronique

La crise du Covid-19 a vu une forte augmentation de l'utilisation du commerce électronique par les consommateurs de l'UE et a créé de nouvelles opportunités pour les entreprises canadiennes. Cela s'ajoute aux tendances positives préexistantes, puisque tous les indicateurs relatifs au commerce électronique dans l'UE ont augmenté au cours de la dernière décennie. Le nombre de personnes effectuant des achats en ligne est passé de 63 % en 2016 à 71 % en 2019, ce qui est loin d'être négligeable pour un marché de plus de 400 millions de consommateurs.

Certaines tendances régionales importantes sont apparues ces dernières années. L'Europe occidentale, avec les pays les plus peuplés comme le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne, représentait 70 % de la part totale du chiffre d'affaires du commerce électronique en 2019. Les pays d'Europe septentrionale obtiennent des résultats élevés pour des indicateurs importants du commerce électronique, tels que la pénétration d'Internet ou la facilité à faire affaire, mais ils représentent des marchés plus petits, avec moins d'acheteurs en ligne et un chiffre d'affaires inférieur. Le nombre d'acheteurs en ligne et le niveau de pénétration d'Internet sont généralement plus faibles au sud et à l’est du continent, mais c'est également là que l'on observe la plus forte croissance du chiffre d'affaires du commerce électronique. Ce marché est également moins saturé, ce qui signifie plus de possibilités et un accès plus facile pour les exportateurs.

La diversité des préférences des consommateurs dans les pays de l'UE en matière de méthodes de paiement, de confidentialité, de durabilité, de méthodes de livraison, de délais de livraison et de sécurité des paiements constitue un défi. Par exemple, 76 % des consommateurs préfèrent la livraison à domicile en Belgique, tandis qu'en Norvège, 65 % utilisent les points de collecte. En France, 33 % des consommateurs ont des préoccupations en matière de sécurité qui limitent ou empêchent de commander en ligne, alors qu'en Bulgarie, ils ne sont que 4 %.

Julia Pracht, déléguée commerciale en Allemagne spécialiste des biens de consommation et du commerce électronique : « S'il est bien abordé, le commerce électronique est un excellent moyen pour un exportateur d'élargir sa clientèle et d'atteindre de nouveaux marchés. Une entreprise peut également avoir plus de contrôle sur sa marque que si son produit était simplement posé sur une étagère dans un grand magasin, parmi des produits concurrents ».

Le marché allemand est difficile à pénétrer, prévient-elle. « Vendre peut être plus difficile que prévu. S'attendre à un succès du jour au lendemain peut être irréaliste, car il peut falloir quelques années pour percer sur le marché ». Selon Julia Pracht, les exportateurs ne doivent pas penser que leur expérience dans un pays européen sera applicable à 100% dans un autre. Ses conseils généraux pour ceux qui viennent en Allemagne : « Préparez-vous, préparez-vous, préparez-vous. Le diable est dans les détails, qu'il s'agisse de réglementation, de logistique ou d'image de marque ».

Comment résoudre les difficultés

Il est important d'être conscient des défis à relever lorsque vous cherchez à vendre à l'étranger et que vous sélectionnez vos marchés cibles. Vous trouverez ci-dessous un aperçu des difficultés les plus courantes rencontrées par les exportateurs sur le marché de l'UE, ainsi que des conseils d’entrepreneures pour les éviter ou les surmonter.

« Il vaut la peine d'étudier le marché de chaque pays avant de tenter de vendre » nous dit Manon Pilon, Présidente de Derme & Co, un fournisseur de produits cosmétiques et d’équipements pour le spa. La structure de distribution en Amérique du Nord est différente de ce qu'elle est dans certains pays d'Europe. Il est important de s'adapter aux différentes cultures individuelles. Par exemple, la communication ou la description d'un produit sera très différente en France et au Québec. Des détails comme celui-ci font la différence pour une marque ». Manon Pilon, Derme & Co.

« Si vous êtes dans un secteur de services, soyez prêt à avoir du personnel de soutien pour répondre aux questions ici à minuit et à inclure le bon contenu et les bons outils en ligne afin que les clients européens puissent obtenir les informations dont ils ont besoin quand ils en ont besoin », conseille Jill White, Présidente de WaterPlay Solutions Corp. Et veillez à respecter les délais de soumission des offres et des propositions, recommande Marlene Prince de Terida.

« Les vacances officielles sont une différence culturelle dont il faut tenir compte, les Européens montent en puissance et ferment à des moments différents des nôtres, note Marlene Prince, qui pointe les fermetures d'entreprises en août dans de nombreux pays de la région. L'ambassadrice du Canada en France, Isabelle Hudon, dit qu'il faut se préparer à de longs déjeuners d'affaires, durant jusqu'à trois heures en France, où manger fait intrinsèquement partie de la culture. Jill White de Waterplay recommande de se renseigner sur les cultures et les normes. « Aux Pays-Bas, trois bises - et non deux - améliorent la relation », note-t-elle.

C'est exactement ce qu’a fait Shelby Taylor (Chickapea). Par l’intermédiaire de la société partenaire de son courtier canadien en Europe (créée pour faire venir des marques en Europe après l’ouverture du libre-échange), elle y fait appel à un courtier qui gère également le travail sur la réglementation. « Nous avons fait nos recherches et nos vérifications préalables et nous savons aussi ce que nous devons faire du point de vue de la certification », dit-elle.

Manon Pilon (Derme) a constaté que l'enregistrement des produits de soins biologiques de son entreprise en France était plus long et compliqué que prévu et qu'elle devait faire la preuve de tests supplémentaires. Elle a fait appel à des consultants locaux pour l'y aider.

Jodi Glover de Real Tech a reçu « un grand soutien d'EDC avec son assurance-crédit ; nous n'avons pas à en supporter le poids. Avant d'obtenir l'assurance, nous devions faire en sorte que le client paie le montant total d'avance et cela constituait un obstacle à la conclusion de la vente ».

Mettre les réseaux et les ressources à profit

Les femmes exportatrices soulignent souvent l'importance de prendre pied sur le territoire de destination et décrivent l’UE comme un « marché relationnel », par opposition à un marché américain plus transactionnel. Quelle que soit la qualité du produit ou du service et quel qu’en soit le prix, il faut du temps pour établir des relations essentielles pour capter et conserver une clientèle au sein de l'UE. Le développement de relations pertinentes peut également vous aider à surmonter certains des défis mis en évidence ci-dessus, en vous permettant de mieux cerner les préférences des consommateurs ainsi que les spécificités culturelles de vos marchés cibles.

Réseaux et ressources pour les exportatrices canadiennes

Organisations de femmes d’affaires - Il existe de nombreuses organisations professionnelles s’adressant aux femmes ainsi qu’à d’autres groupes en Europe qui représentent un point de départ idéal pour identifier de bons partenaires potentiels. Contactez-les pour obtenir des références ou, mieux encore, assistez à l'une de leurs conférences pour établir un réseau et rencontrer en personne des partenaires potentiels, voire des clients. Voir ci-dessous la liste de contacts et ressources de première importance.

Missions commerciales - Participer à des missions commerciales est un autre excellent moyen de mieux se familiariser avec un marché. Les missions organisées par Affaires mondiales Canada et son groupe Femmes d'affaires en commerce international (FACI) comprennent généralement des rencontres individuelles avec des clients ou partenaires potentiels ainsi que des réceptions avec des intervenants de haut niveau dans leurs communautés. Le FACI a déjà organisé des missions commerciales au Royaume-Uni, en Allemagne, en France et en Belgique. Le consulat des Pays-Bas a également accueilli une mission de femmes du secteur technologique lors de la Collision Conference à Toronto en 2019.

Selon une participante à la mission commerciale du FACI en Europe, Rachel Bunbury, dirigeante de Westbury Law, la valeur d'une telle mission commerciale est triple :

  1. Elle donne l'occasion de se préparer avec d'autres délégués avant de rencontrer les entreprises cibles
  2. Elle permet d'entrer en contact avec des entreprises que vous n'auriez pas trouvées vous-même et d'avoir le soutien des délégués commerciaux qui vous donnent un aperçu des entreprises et du marché local
  3. Elle permet de construire votre réseau avec d'autres participants canadiens et d'obtenir des affaires ou des références de leur part

Service des délégués commerciaux - Contactez le Service des délégués commerciaux pour obtenir des informations sur les possibilités commerciales dans un pays spécifique de l'UE. Il existe une équipe commerciale dans 25 bureaux de l'UE qui comprend les besoins des femmes d'affaires exportatrices. Contactez la mission dans vos marchés cibles, qui vous mettra en rapport avec un délégué commercial connaissant bien votre secteur et qui pourra vous présenter des contacts pertinents.

Salons professionnels - La participation à des salons professionnels et à des conférences industrielles, en personne ou virtuellement, est également une bonne stratégie pour se faire une idée de première main d'un marché particulier et pour rencontrer des contacts précieux et de futurs clients ainsi que des partenaires, agents et/ou distributeurs potentiels. Par exemple, Bruxelles accueille généralement chaque année un salon mondial des produits de la mer, auquel 20 exportatrices canadiennes ont participé avec succès en 2018.

Conseils de femmes exportatrices qui ont su tirer parti de leurs contacts pour pénétrer le marché de l'UE

Trouver le bon distributeur

Les nouveaux exportateurs recherchent souvent un distributeur pouvant leur ouvrir les portes du marché de l'UE. Or, trouver le bon distributeur peut être difficile et une évaluation préalable pourra s’imposer pour vous assurer qu'il vous convient. De nombreuses exportatrices ont indiqué que les salons professionnels étaient un bon moyen de rencontrer et d'évaluer le potentiel d'un distributeur.

Jodi Glover de Real Tech dispose d'un réseau de distributeurs en Europe et participe à des salons internationaux, comme Aquatech Amsterdam, pour trouver les bonnes personnes. « Ce sont des lieux privilégiés pour notre industrie, qui nous permettent de créer des réseaux et de trouver des partenaires dans différents pays », dit-elle. « Exposer dans des salons est un moyen abordable pour une petite entreprise d'obtenir du temps en face à face et de faire affaire. À nos débuts, nous le faisions sous la bannière de l'Ontario et du Canada, ce qui nous a permis d'attirer des partenaires et des acheteurs admissibles sur le stand et nous a aidés à obtenir des présentations et des contacts, ce qui était fantastique. Maintenant que nous sommes mieux établis, nous avons notre propre stand ».

Ainslie Cyopik, dont la société Ainslie Wear fabrique des vêtements de ballet, participe à un salon professionnel de l'industrie du vêtement de danse à Florence en Italie, auquel les acheteurs européens assistent pour voir tous les fournisseurs. « Nous avons parcouru le salon pendant quelques années, puis nous avons eu une mini-boutique en face d'un exposant avec une marque d'entrée de gamme pour les enfants », explique-t-elle. « Il nous a contactés et distribue maintenant nos vêtements de danse haut de gamme pour équilibrer sa ligne ».

Développer des partenariats

Un partenariat avec une entreprise locale peut réduire les risques au moment de pénétrer sur le marché de l'UE, en vous aidant à cerner les différentes cultures, les nuances locales, les acteurs et les personnes influentes, ainsi que les réglementations.

L’expérience de Chickapea auprès d’un courtier : étant en mesure de vendre ses pâtes directement aux détaillants en Europe, Shelby Taylor de Chickapea peut se passer d’un distributeur mais travaille avec un courtier basé en Roumanie, où elle prévoit de se lancer d'abord en Europe. « Ce n'est pas là qu’on pense à se lancer a priori, mais c'est un endroit formidable parce qu'il y a beaucoup de magasins à grande surface et qu'il y est plus facile de pénétrer le marché qu'en France », explique-t-elle. « Si vous entrez chez Carrefour Roumanie, par exemple, cela vous mettra dans le système et facilitera probablement l'entrée chez Carrefour France et dans d'autres pays également ».

L’alliance stratégique de Signifi : Signifi Solutions Inc, qui conçoit et développe distributeurs automatisés, a noué une alliance stratégique avec une société britannique présente dans plus de 100 pays, dont l'Europe. « Ils réalisent nos installations dans le monde entier », déclare Samira Jaffer, présidente de Signifi. Et une entreprise de fabrication britannique effectue des travaux d'assemblage pour nous. Avec l'aide du financement de CanExport, Samira Jaffer a également investi dans un consultant spécialisé au Royaume-Uni, qui conclut son premier contrat pour Signifi (avec Disney) dans le cadre duquel les machines seront placées à l'aéroport d'Heathrow. « La subvention nous a permis de faire un pas en avant plus tôt que nous n'aurions pu le faire autrement ».

Le conseil consultatif mondial de Diversio : Laura McGee est la présidente de Diversio, qui exploite les données, les mesures et l'apprentissage automatique pour aider les organisations à analyser, suivre et améliorer la diversité et l'inclusion. L’entreprise dispose d'un conseil consultatif mondial composé de personnes de haut niveau et bien connectées au sein de ses marchés cibles : l'Europe, les États-Unis et le Canada. Elle les a recrutées en commençant par son propre réseau, en explorant stratégiquement trois secteurs : la finance, le droit et la technologie. Laura McGee s'est d'abord concentrée sur l'Europe « parce qu'ils sont des acheteurs plus rapides et ont un plus grand pouvoir d'achat » et elle pense que l'AECG ouvrira des perspectives. Pour entrer sur le marché, son conseiller canadien lui a présenté JP Morgan à Londres, qui l'a aidée à s'y connecter. « Notre conseil consultatif mondial est notre sauce secrète », dit-elle. « Nous comptons beaucoup sur eux pour nous présenter. Le service des délégués commerciaux à Londres a la même utilité ».

Collaborer avec des contacts en mesure de vous ouvrir les portes des chaînes d’approvisionnement

Chaînes d’approvisionnement. Nouer des relations avec les entreprises européennes actives au Canada et leur proposer des produits ou services est une façon d'entrer dans leur chaîne d'approvisionnement. De même, vendre à de grandes entreprises canadiennes qui exportent vers l'UE est un moyen indirect de prendre pied sur le marché.

Topax Protektive Packaging, qui fabrique des emballages de protection et fournit des solutions techniques pour protéger les biens et équipements de valeur tout au long de leur cycle de vie, n'exporte pas directement vers l'UE. « Mais bon nombre de nos clients le font et, par conséquent, nos emballages partent pour l’UE », explique la vice-présidente Jo-Lynn Hoffmann.

Diversité des fournisseurs. Les entreprises des grands marchés de l'UE peuvent proposer des programmes consacrés à la diversité des fournisseurs. Il faut toutefois garder à l'esprit que les initiatives en la matière ne sont pas aussi importantes ou répandues en Europe qu'en Amérique du Nord ; elles représentent davantage un chantier, puisque les gouvernements cherchent à encourager les grandes entreprises à créer des programmes en ce sens.

Les Canadiennes dont les entreprises sont certifiées par WEConnect International, un réseau international dédié entièrement aux femmes entrepreneures, peuvent trouver des contacts précieux dans les pays où WEConnect est présent et, pour acquérir de l'expérience, peut-être devenir fournisseur d'une entreprise de plus grande envergure qui vend déjà à un membre de WEConnect. WEConnect International a une présence physique au Royaume-Uni par le biais de WEConnect Europe et certifie également les entreprises détenues par des femmes en Allemagne, en Suisse, aux Pays-Bas, en Irlande et en Türkiye. WEConnect Europe organise une grande conférence annuelle au Royaume-Uni, qui est un événement idéal pour les entrepreneures canadiennes certifiées afin de rencontrer des partenaires potentiels et des entreprises membres qui cherchent à diversifier leur chaîne d'approvisionnement et à inclure davantage de femmes.

Parlez-nous de vous ! Informez-nous à FACI@international.gc.ca ou BREUTD@international.gc.ca de vos opportunités, de vo défis et de vos succès.

Annexe

Liste de contacts et ressources clés

Voici une liste de ressources liées au commerce qui peuvent vous aider à établir des contacts afin d'avoir des échanges utiles et de développer des relations.

Contactez les délégués commerciaux sur le terrain, ils pourront vous présenter à la bonne personne dans chacune des organisations ci-dessous.

Sources de financement

CanExport

Emanation du Service des délégués commerciaux, CanExport soutient financièrement les petites et moyennes entreprises en quête de nouveaux marchés. Le programme finance un large éventail d'activités de marketing à l'exportation, telles que les voyages, la participation à des salons professionnels et à des missions commerciales, la création ou la traduction de produits de marketing et bien plus encore.

Grâce à de récentes adaptations, les entreprises dirigées par des femmes sont plus nombreuses que jamais à bénéficier d'une aide financière pour explorer les marchés internationaux. Le programme offre désormais aux petites entreprises des subventions pouvant aller jusqu'à 30 000 dollars, offrant ainsi aux femmes d'affaires davantage de flexibilité et un accès plus rapide au financement. CanExport a mis en place des dispositions concrètes pour tenir compte des circonstances propres aux groupes sous-représentés, notamment les autochtones, les LGBTQ2, les femmes et les jeunes entrepreneurs. Visitez Financement CanExport pour les exportateurs, les innovateurs, les associations et les collectivités pour consulter le guide du candidat. Courrier électronique : canexport@international.gc.ca Téléphone : 1-866-203-2454.

Prêt BDCXpansion

La BDC accorde des prêts de 100 000 à 750 000 dollars pour développer votre marché à l'étranger, avec un remboursement étalé jusqu'à six ans. Contactez la BDC en ligne ou par téléphone au 877-232-2269.

BDC - Fonds pour les femmes en technologie.

L'un des plus grands fonds de capital-risque au monde consacrés à l'investissement dans les entreprises technologiques dirigées par des femmes. Étant donné que les femmes sont sous-représentées et sous-financées dans les entreprises de technologie et d'investissement, la BDC investira 200 millions de dollars sur une période de cinq ans pour aider à combler ce fossé.

Programme de garanties d’exportations

Ce programme d'EDC aide les entreprises canadiennes à obtenir davantage de financement de leur banque. Son programme de garanties d'exportations travaille avec vous et votre banque pour augmenter vos options d'emprunt et vous aider à surmonter certains obstacles financiers courants à la vente à l'étranger. Admissibilité : EDC examine le montant des ventes à l'étranger que vous avez réalisées au fil du temps et l'accord de prêt de votre institution financière, ainsi que d'autres facteurs. Consultez la section Augmenter son fonds de roulement grâce aux garanties d’exportations.

SheEO

SheEO est une communauté mondiale de femmes radicalement généreuses qui crée un fonds perpétuel de 1 milliard de dollars pour soutenir les femmes travaillant sur la liste mondiale des choses à faire. Son objectif est d'atteindre 1 million d'activatrices, 10 000 entreprises dirigées par des femmes et un fonds perpétuel de 1 milliard de dollars pour soutenir les femmes pour les générations à venir. Le modèle rassemble 500 femmes (appelées activatrices) dans la cohorte de chaque année, qui contribuent à hauteur de 1100 dollars au Canada, aux USA, en Nouvelle-Zélande et en Australie, et de 850 livres sterling au Royaume-Uni, chacune dans un acte de générosité radicale. Les fonds sont mis en commun et prêtés à taux 0 à cinq entreprises dirigées par des femmes et sélectionnées par les activatrices.

Programmes

Accélérateurs technologiques canadiens (ACT)
ACT est un programme qui aide les entreprises canadiennes à forte croissance et à fort potentiel dans les secteurs des technologies de l'information et des communications, des technologies propres et des sciences de la vie à se faire une place sur les marchés internationaux. Les candidats retenus ont accès à un encadrement, à un mentorat et à une expérience pratique dans leur marché cible pendant quatre à six mois. Pour encourager davantage de femmes à participer, le programme CTA a lancé une initiative appelée « 48 heures pour les femmes en technologie », dans le cadre de laquelle les femmes entrepreneurs passent deux jours sur un nouveau marché pour décider si le programme complet convient à leur entreprise.

GroYourBiz
GroYourBiz propose aux femmes chefs d'entreprise des réunions mensuelles de résolution de problèmes, l’intelligence collective d'un groupe mondial d'entrepreneurs et de professionnels motivés et partageant les mêmes idées, de nouvelles perspectives et des solutions pratiques aux défis commerciaux et des opportunités de marketing croisé B2B par le biais des conseils consultatifs de GroYourBiz, en personne et virtuellement. Elle dispose également d'un institut GroYourBiz pour les connexions mondiales, une association à but non lucratif qui vise à :

Programme d'accélération du commerce international du Canada (PAC) (en anglais seulement)
Créé par le World Trade Centre Toronto et le Toronto Region Board of Trade, TAP Canada est un atelier dynamique et pratique de six semaines qui aide les PME à se développer, à élaborer et à exécuter un plan d'exportation. Il permet aux entreprises d'avoir accès aux meilleurs conseillers, ressources et contacts en matière d'exportation au Canada, en leur offrant la formation et le soutien dont elles ont besoin pour devenir des négociants internationaux prospères dans leur secteur d'activité. Disponible dans 11 villes à travers le pays. Un projet pilote de PAC pour les entrepreneures se tiendra à Toronto à partir de janvier 2020. De nombreux programmes sont prévus dans tout le Canada.

Sites web

ExportEdge (en anglais seulement)
Ce guide pas à pas à l'exportation est un outil Web destiné aux entreprises canadiennes qui souhaitent explorer les possibilités commerciales sur les marchés internationaux. Il rassemble les ressources et le savoir-faire de diverses organisations et professionnels du commerce de premier plan, et couvre les services disponibles pour aider les exportateurs canadiens, ainsi que les bases du droit commercial, des douanes et des réglementations, et des études de marché ciblées. Parrainé par Ontario Creates, CanadianManufacturing.com, le magazine PLANT et Annex Business Media.

Really Useful Sites for International Trade Professional (FITA) (en anglais seulement)
Abonnez-vous gratuitement à la lettre d'information électronique bimensuelle de la Fédération des associations du commerce international (FITA) intitulée « Really Useful Sites for International Trade Professionals », qui met en évidence 4 ou 5 sites web utiles ou animant votre journée de travail, à partir des ressources web sur le commerce international de la FITA.

Magnet Export Business Portal (en anglais seulement)
Magnet Export Business Portal propose des événements, des ressources et des possibilités ciblés en matière d'exportation grâce à un tableau de bord personnalisé, créé pour aider les entreprises canadiennes à toucher les marchés d'exportation et à développer leurs activités auprès de clients internationaux. Financé par le ministère du Développement économique, de la Création d'emplois et du Commerce de l'Ontario, le portail exploite les ressources et les services du gouvernement de l'Ontario, d'Exportation et développement Canada, de la Banque de développement du Canada et d'Affaires mondiales Canada, et les met directement à la disposition des entreprises au moyen d'avis de lancement et d'un tableau de bord personnalisé. Cette technologie de nouvelle génération simplifie les voies de navigation dans l'écosystème commercial de l'Ontario.

Outils

Info-Tarif Canada
Info-Tarif Canada est un outil gratuit de la BDC qui permet aux exportateurs canadiens de vérifier les tarifs applicables à un produit spécifique sur un marché étranger. L'accent est mis sur les pays avec lesquels le Canada dispose d’un accord de libre-échange (ALE). L'outil vous aidera à :

Centre aide-export d’EDC
Disponible gratuitement si vous vous inscrivez et créez un compte MyEDC, cet outil en ligne vous permet d'accéder facilement, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, aux questions et réponses élaborées par les experts d'EDC. Avec plus de 200 articles, webinaires et guides, le centre vous offre les informations dont vous avez besoin pour réussir dans l'Union européenne et aux États-Unis. Vous pouvez également soumettre vos propres questions si vous ne trouvez pas de réponse sur le site et les conseillers d'EDC vous aideront à prendre des décisions judicieuses et à prospérer sur les marchés internationaux.

ExportActions d’EDC
Des premiers pas dans l'exportation aux tendances du commerce mondial, les experts d'EDC partagent leur savoir et leur perspective sur des sujets qui vous aideront à faire progresser votre entreprise au-delà des frontières.

Tarifs d’interprète
Attention : il s'agit de tarifs négociés par l'Association internationale des interprètes de conférence et l'ONU. Ils donnent une estimation approximative des tarifs compétitifs pratiqués dans le secteur privé.

Autres programmes et départements gouvernementaux

Femmes d’affaires en commerce international (FACI)
Émanation d’Affaires mondiales Canada, le site web Femmes d’affaires en commerce international propose une multitude d'informations spécifiques aux exportatrices. Les Canadiennes peuvent accéder à des réseaux de soutien et à de multiples ressources destinées à les aider à se préparer et à réussir sur le marché concurrentiel de l'exportation. FACI organise ou soutient également des missions commerciales pour les exportatrices et celles qui souhaitent se développer à l'international.

Service des délégués commerciaux du Canada (SDC)
Offre une gamme de soutien, de services et de programmes à partir d'un vaste réseau de délégués commerciaux à travers le Canada et sur plus de 160 marchés mondiaux clés. Ils aident les entreprises canadiennes à préparer leur entrée sur le marché, à évaluer le potentiel du marché, à trouver des contacts qualifiés et à résoudre les problèmes. Vous pouvez obtenir des rapports sur les marchés et des nouvelles sectorielles, accéder à des pistes d'affaires, organiser des rencontres avec des spécialistes du commerce international, demander du financement à l'exportation et vous aider à gérer vos risques. Visitez la page Web dédiée pour obtenir des guides et des ressources.

CanadExport
Le bulletin officiel du Service des délégués commerciaux du Canada, avec des informations et des conseils en matière d’exportation.

Section commerce de la Mission du Canada auprès de l'Union européenne : Contactez la section commerce à l'adresse BREUTD@international.gc.ca pour toute question spécifique ou en cas de problèmes concernant un règlement ou une législation au niveau de l'UE.

Banque de développement du Canada (BDC)
La BDC, seule banque canadienne qui se consacre exclusivement aux entrepreneurs, offre des services de conseil et de financement pour aider à établir une présence mondiale. Visitez la page web dédiée à l’exportation pour obtenir des conseils sur l'expansion internationale, étape par étape.

Exportation et développement Canada (EDC)
Fournit des services d'assurance et financiers, des produits de cautionnement et des solutions pour les petites entreprises aux exportateurs et investisseurs canadiens et à leurs acheteurs internationaux. Soutenant l'investissement direct canadien à l'étranger et l'investissement au Canada, EDC réalise une grande partie de ses activités en partenariat avec d'autres institutions financières et en collaboration avec le gouvernement du Canada.

Ministères provinciaux du Commerce

Chaque gouvernement provincial dispose d'un ministère du Commerce, facilement accessible sur leurs sites web respectifs.

Missions commerciales

Surveillez les missions commerciales parrainées par les gouvernements et d'autres organisations.

Contact: FACI@international.gc.ca

Organisations de femmes d'affaire

Canada

Les organisations de femmes d'affaires au Canada peuvent vous mettre en contact avec des ressources et des contacts commerciaux.

CanWIT (Canadian Women in Technology) (en anglais seulement)

Un réseau communautaire national source de relations et de formations pour stimuler la participation et la promotion des femmes dans les secteurs de haute technologie. CanWIT est une division de CATAAlliance, une alliance technologique nationale influente et entrepreneuriale qui s'engage à accroître la compétitivité de ses membres sur la scène mondiale.

Organisations d’entreprises de femmes au Canada (WEOC)
Partenaire clé de FACI et du SDC, WEOC est une association d'organisations, dont des réseaux de femmes d'affaires, des agences de développement économique et de petites entreprises, des gouvernements, des sociétés, des universités et des associations industrielles du pays, qui proposent des programmes et des services directement aux femmes chefs d'entreprise au Canada. Cela comprend le développement des compétences, l’accès au financement, les opportunités de développement du commerce, le réseautage et le mentorat.

WBE Canada (en anglais seulement)
WBE Canada est une organisation à but non lucratif, dirigée par des membres corporatifs, qui ouvre les portes des chaînes d'approvisionnement à travers l'Amérique du Nord aux entreprises canadiennes détenues par des femmes. Elle certifie les entreprises canadiennes qui sont détenues, gérées et contrôlées à 51 % au moins par des femmes et leur fait découvrir les possibilités offertes par les entreprises. Outre la certification, WBE Canada propose des programmes d'information, de formation, d'encadrement et de mentorat qui renforcent la capacité des femmes chefs d'entreprise à répondre avec succès aux appels d'offres importants.

WEConnect Canada (en anglais seulement)
WEConnect Canada fait partie de WEConnect International, un réseau international dédié entièrement aux femmes entrepreneures qui met en relation les entreprises dirigées par des femmes avec des acheteurs admissibles dans le monde entier. WEConnect International identifie, informe, enregistre et certifie les entreprises basées en dehors des États-Unis qui sont détenues à au moins 51 %, ainsi que gérées et contrôlées par une ou plusieurs femmes, et les met ensuite en contact avec des acheteurs d'entreprises multinationales. WEConnect est actif au Canada et travaille avec des partenaires stratégiques, des agences gouvernementales, des entreprises membres et des femmes propriétaires d'entreprises dans tout le pays.

Les femmes en communications et technologie
Met en avant les femmes travaillant dans le domaine de la communication au moyen d’un certain nombre d'avantages, de services, de prix et de stages, d’un programme national de mentorat, d’événements locaux et nationaux, du développement professionnel, d’initiatives de haut niveau comme le programme « Les femmes dans le leadership » et à des partenariats forts avec des organismes gouvernementaux, des entreprises industrielles et d'autres associations.

Women in Film & Television (en anglais seulement)
Une organisation professionnelle à but non lucratif qui aide les femmes actives dans les médias sur écran (cinéma, télévision et médias numériques) à construire, faire progresser et maintenir leur carrière au niveau national et international. Elle fait partie d'un réseau mondial composé de 37 sections dans le monde entier et de plus de 10 000 membres.

Women Presidents' Organization (en anglais seulement)
Une organisation à but non lucratif, dont le siège social est aux États-Unis, mais qui compte 16 sections canadiennes, pour les femmes présidentes d'entreprises qui participent à des groupes consultatifs animés par des professionnels afin de faire passer leur entreprise au niveau supérieur. Pour devenir membre, une entreprise doit générer un minimum de 2 millions de dollars US (1 million si elle offre des services) de revenus annuels.

Women’s Executive Network (WXN) (en anglais seulement)
Un réseau de femmes d'affaires prospères, principalement des cadres, mais également ouvert aux entrepreneures, qui propose des événements et des programmes de mentorat.

Régions

Canada atlantique
Agence de promotion économique du Canada atlantique

Via son Initiative Femmes en affaires (IFA), l’APECA apporte un soutien financier aux organisations commerciales à but non lucratif pour aider les femmes chefs d'entreprise à :

L’APECA soutient les organisations suivantes :

Canada central

Organization of Women in International Trade (OWIT) (en anglais seulement)
OWIT-Toronto et OWIT-Ottawa sont les sections canadiennes de l'Organization of Women in International Trade (OWIT), organisation professionnelle à but non lucratif qui se consacre aux perspectives de commerce mondial pour les femmes. Les avantages de l'adhésion comprennent le réseautage par le biais des réunions des sections locales et d'une conférence internationale annuelle ; l'accès à des contacts d'affaires dans le monde ; l'information et la formation par le biais de réunions, d'ateliers, de séminaires et de webinaires sur des sujets d'actualité, ainsi que des bulletins d'information. OWIT International propose également une adhésion virtuelle si vous ne disposez pas d'une section locale dans votre région. Visitez le site web d'OWIT International pour en savoir plus. Si vous voyagez dans d'autres pays du monde, vous pouvez également consulter son site pour trouver une section locale.

Canadian Association of Women Executives & Entrepreneurs (CAWEE) (en anglais seulement)
Basé à Toronto, CAWEE est un réseau et une alliance sociale de femmes entrepreneurs, de propriétaires de petites entreprises prospères et de chefs de certaines des entreprises les plus influentes du Canada. L'association offre aux femmes d'affaires un forum pour échanger des idées, nouer des relations et participer à des ateliers, des conférences et des événements spéciaux pour les aider à développer et à faire progresser leur entreprise et leur vie professionnelle.

Femmessor
Femmessor est un organisme dédié au développement de l'entrepreneuriat féminin dont la mission est de contribuer directement à la création et à la croissance d'entreprises détenues et dirigées par des femmes dans 17 régions du Québec. Femmessor est en mesure d'offrir du financement sous forme de prêts conventionnels ou de capital-actions. Les entrepreneures admises peuvent recevoir :

Centres d’encadrement des petits entrepreneurs locaux (CEPE) en Ontario

Bien que les centres s'adressent à tous les propriétaires d'entreprises, quel que soit leur sexe, certains programmes et services y existent pour les femmes entrepreneurs.

Les CEPE sont implantés à travers la province et proposent :

PARO Centre pour l’entreprise des femmes
Entreprise sociale à but non lucratif, Paro est un organisme de soutien aux entreprises et de réseautage qui concourt à l’autonomisation des femmes, au renforcement des petites entreprises et à la promotion du développement économique communautaire dans le nord, le nord-est, l’est, le sud-est et le centre de l’Ontario (à l’exclusion de la région du Grand Toronto).

Réseau des femmes d'affaires du Québec (RFAQ)
Un réseau de femmes d'affaires du Québec se donnant pour mission de contribuer au succès des femmes d'affaires (entrepreneures, managers et professionnelles) en favorisant les contacts, l'entraide et un réseau d'affaires dynamique. Il a un siège social à Montréal et des bureaux régionaux.

Ouest Canada

Diversification de l'économie de l'Ouest Canada a créé l'Initiative pour les femmes entrepreneurs (IFE) afin de fournir des informations et des services aux femmes entrepreneurs. Ces centres à but non lucratif offrent une variété de produits uniques aux femmes entrepreneurs, notamment des services consultatifs, des options de formation, des possibilités de réseautage, des prêts aux entreprises et des références à des services complémentaires.

FWE - The Forum for Women Entrepreneurs BC (en anglais seulement)
Une société à but non lucratif gérée par et pour ses membres, dont la mission est d'informer les femmes afin d’augmenter leurs possibilités de lancer, diriger, construire, investir et céder des entreprises.

Associations professionnelles, organisations et chambres de commerce au Canada

Forum pour la formation en commerce international (FITT)
L'organisation est une source d'informations actuelles, validées par l'industrie, en vue d'acheter, de vendre, de fabriquer, de financer et de se procurer des produits, des matières premières ou des services partout dans le monde. Autorité mondiale en matière de commerce international, le FITT s'efforce de fournir des connaissances fiables et actuelles ainsi que des ressources pratiques pour le commerce international. Elle décerne également le titre de Professionnel accrédité en commerce international (PACI|FPAI), une désignation professionnelle preuve de crédibilité et de compétence en matière de commerce international, à celles et ceux qui ont satisfait à un ensemble rigoureux de normes de compétence définies par le FITT. N'oubliez pas de consulter sa page de ressources.

I.E. Canada (en anglais seulement)
L’organisation défend et représente les intérêts de ses membres, en mettant en place des programmes et des services à l'initiative de ces derniers pour aider les entreprises à travailler sur leurs activités, en renforçant les connaissances et les capacités dans des domaines clés, tels que le LEAN et la productivité, le commerce et l'exportation, l'énergie et l'environnement, le développement du leadership, la sécurité, etc. CME a des sections régionales dans chaque province, au service des fabricants locaux.

Canadian Manufacturers & Exporters (CME)
L’organisation défend et représente les intérêts de ses membres, en mettant en place des programmes et des services à l'initiative de ces derniers pour aider les entreprises à travailler sur leurs activités, en renforçant les connaissances et les capacités dans des domaines clés, tels que le LEAN et la productivité, le commerce et l'exportation, l'énergie et l'environnement, le développement du leadership, la sécurité, etc. CME a des sections régionales dans chaque province, au service des fabricants locaux.

N'oubliez pas de vérifier auprès de votre (vos) propre(s) association(s) professionnelle(s) s'il existe un soutien spécifique pour les femmes exportatrices.

Chambres de commerce au Canada

Belgian Canadian Business Chamber (BCBC) (en anglais seulement)

British Canadian Chamber of Commerce (BCCTC) (en anglais seulement)

Chambre de commerce du Canada
Consultez leur répertoire (en anglais seulement) pour trouver votre chambre de commerce locale.

Chambre de commerce LGBT+ (CGLCC)

Canadian Women’s Chamber of Commerce (CanWCC) (en anglais seulement)

Chambre de commerce de l’Union européenne au Canada (EUCCAN)

Organisations de femmes d’affaires – UE et internationales

International

AFAEMME (en anglais seulement)

afaemme@afaemme.org
Fédération des associations méditerranéennes de femmes d'affaires, lancée en 2002 à Barcelone (Espagne). L'AFAEMME regroupe actuellement 60 organisations de femmes d'affaires de 24 pays méditerranéens. L'AFAEMME est un coordinateur de projets euro-méditerranéens sur les entreprises et l'égalité des sexes et de recherches novatrices, une plate-forme de mise en réseau pour les femmes d'affaires et entrepreneures de la région euro-méditerranéenne et un lobby pour renforcer l'égalité des sexes et faciliter l'accès des femmes aux postes de décision dans l'économie.

European Women Management Development Network (EWMD) (en anglais seulement)
service.international@ewmd.org
Le réseau met en relation des professionnelles de tous les domaines de l'économie, de l'éducation, de la politique et de la culture. Son esprit est caractérisé par la détermination, l'engagement personnel, le don et la prise de participation et l'échange ouvert. Fondé en 1984 par des femmes engagées dans des écoles de commerce, des universités et des associations d'entreprises à travers l'Europe, son principal objectif était de rapprocher les femmes des postes de direction supérieurs en lançant des études sur les contributions et les expériences des femmes en matière de gestion et en diffusant leurs bonnes pratiques parmi les entreprises et les écoles de commerce européennes. L'EWMD accueille des membres individuels et des membres d'entreprises, qu'ils soient salariés ou indépendants.

Femmes Chefs d’Entreprises Mondiales FCEM

International Federation of Business and Professional Women (BPW International) (en anglais seulement)

Presidents.office@bpw-international.org
BPW International est l'un des réseaux internationaux de femmes d'affaires et de professionnelles les plus influents, avec des filiales dans plus de 100 pays sur les cinq continents. Parmi ses membres figurent des femmes dirigeantes influentes, des entrepreneures, des propriétaires d'entreprises, des cadres, des professionnelles et de jeunes femmes d'affaires et professionnelles. BPW développe le potentiel professionnel, commercial et de leadership des femmes par le renforcement des compétences, la défense des intérêts en réseau et le mentorat dans le monde entier.

The International Alliance for Women (TIAW) (en anglais seulement)
Une organisation internationale qui chapeaute des réseaux représentant plus de 50 000 femmes dans le monde entier et dont la mission est l'émancipation économique des femmes.

WEConnect International (en anglais seulement)
WEConnect International est un réseau mondial dédié exclusivement aux femmes entrepreneures qui met en relation les entreprises dirigées par des femmes avec des acheteurs admissibles dans le monde entier. WEConnect International identifie, informe, enregistre et certifie les entreprises basées en dehors des États-Unis qui sont détenues à au moins 51 %, ainsi que gérées et contrôlées par une ou plusieurs femmes, puis les met en relation avec les acheteurs d'entreprises multinationales. Elle dispose des sections dans le monde entier. Voir ci-dessous.

European Gateway for Women’s Entrepreneurship (WEgate) (en anglais seulement)
Un nombre croissant et diversifié de parties prenantes s'engage à soutenir les femmes entrepreneurs à travers l'Europe. European Gateway for Women’s Entrepreneurship, WEgate, est une plateforme électronique lancée par la Commission européenne pour soutenir ce réseau. WEgate est une organisation qui ne fournit pas de services de soutien ou de conseil, et n'a pas de but commercial. Il s'agit d'une passerelle en ligne vers des informations utiles et inspirantes, présentées pour la plupart par un court texte de description et des liens web sélectionnés pour leur pertinence pour les femmes entrepreneures.

WEP - Women Entrepreneurship Platform (en anglais seulement)
info@womenentrepreneurshipplatform.org
WEP est l'association européenne de réseau qui représente, promeut et soutient les femmes entrepreneurs à travers l'Europe. WEP est une association internationale sans but lucratif (AISBL) basée à Bruxelles et le secrétariat du groupe d'intérêt des femmes entrepreneurs du Parlement européen.

Femmes Chefs D'Entreprises Mondiales (FCEM)
Siège : France
communicationmanager@fcem.org
Fondée en France en 1945 à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et quelques mois avant les Nations unies, l'association s'est rapidement étendue à d'autres pays européens et aux 5 continents. FCEM réunit dans un esprit de solidarité et d'amitié, des femmes qui partagent un intérêt commun : celui de l'entreprenariat. Aujourd'hui, le réseau FCEM comprend plus de 120 pays différents et 5 millions de membres des cinq continents. Le nombre de membres augmente, avec de nouvelles demandes d'adhésion chaque année.

Belgique

Association belge des femmes chefs d’entreprises

Association belge des femmes chefs d’entreprises

Cercle Olympe Brussels

JUMP Brussels (en anglais seulement)
info@jump.eu.com

Les Audacieuses
Email: hello@lesaudacieuses.be

Le Réseau Diane
Femmes entrepreneurs francophones

The Urban Woman (en anglais seulement)

Women in business / Women in Tech
Programme bruxellois pour soutenir les femmes entrepreneurs à Bruxelles

WoWo Community – Hero sprl
Bureau national belge
team@wowocommunity.com

BPW Belgium (en anglais seulement)

WEgate - Passerelle européenne pour l'entreprenariat féminin (en anglais seulement)

Women on Board Belgium (en anglais seulement)
Femmes assumant des rôles décisionnels ou intéressées par un poste de direction

BeWise (en anglais seulement)
Réseau pour la position des femmes dans le domaine des sciences

France

Association Femmes Entrepreneures
president@femmes-entrepreneures.org
Gérée par des bénévoles, l'association, qui compte une centaine de membres, est un réseau dynamique qui leur permet de développer et de promouvoir leur entreprise. Elle propose des événements consacrés à la mise en réseau, à l'entrepreneuriat et à des thèmes connexes. L'association présente une grande diversité culturelle (plus de 20 nationalités) « où l'international rencontre le local ».

Femmes Chefs d'Entreprises – FCE
contact@fcefrance.com
L'association soutient les femmes entrepreneurs dans la vie économique et le renforcement de leur présence dans les organes de décision au niveau local, régional et national, et informe et forme ses membres. Interprofessionnel, apolitique et non gouvernemental, FCE France est une organisation largement décentralisée où chaque membre a la possibilité de prendre des responsabilités et de s'impliquer.
Membre d’AFAEMME

Empow-Her
26 rue Feydeau 75002 Paris

JUMP Paris
paris@jump.eu.com

Willa

contact@hellowilla.co
Anciennement Paris Pionnières, WILLA aide les jeunes entreprises technologiques dirigées par des femmes par le biais du mentorat, d'événements et de la sensibilisation. Le site web comprend un portail solide pour le partage d'idées et la création de liens.

Allemagne

VdU Verband deutscher Unternehmerinnen – Association des femmes entrepreneurs allemandes (en allemande seulement)

nfo@vdu.de
Depuis sa création en 1954, la VdU fait campagne pour l'entreprenariat féminin, pour que davantage de femmes occupent des postes de direction, pour que les femmes bénéficient de meilleurs droits sur le lieu de travail et pour que les femmes et les hommes puissent concilier plus harmonieusement vie professionnelle et vie familiale. La VdU représente actuellement quelque 1 800 entreprises allemandes dirigées par des femmes. L'association est divisée en 16 branches au niveau de l'État fédéral et des Länder, et offre des possibilités de mise en réseau avec des entrepreneurs en Allemagne et à l'étranger, ainsi qu'un programme de mentorat pour les jeunes femmes d'affaires.

WEConnect Germany
Voir WEConnect International

Italie

Associazione Donne Imprenditrici e Dirigenti di Azienda-AIDDA (en italien seulement)
aidda@aidda.org
Depuis plus de 50 ans, l’AIDDA est le point de référence pour les femmes qui occupent des postes à responsabilité. C'est la première association italienne fondée dans l'objectif spécifique de renforcer et soutenir l'entrepreneuriat féminin, et le rôle des femmes cadres et professionnelles. L’AIDDA s'efforce de fournir aux femmes des outils et des services d'excellence pour les aider à se développer dans un contexte tant professionnel que social.

Membre de l'AFAEMME.

APID - Imprenditorialità Donna (en italien seulement)

apid@apito.it
Fondée en 1989, l’association vise à :

Membre de l’AFAEMME

ITWIIN-Italian Association of Women Inventors and Innovators(Associazione Italiana Donne Inventrici e Innovatrici) (en italien seulement)
segreteria@itwiin.org
ITWIIN est une association d’inventrices et d’innovatrices, créée pour promouvoir et aider les projets innovants des femmes. Devenir membre d'ITWIIN signifie soutenir ses projets et initiatives dans les domaines de l'entrepreneuriat féminin et de l'innovation.

Membre de l’AFAEMME

Fédération des femmes d’affaires et professionnelles - FIDAPA (en italien seulement)

info@fidapa.org
FIDAPA BPW Italie est une association qui compte environ 11 000 membres en Italie et qui appartient à l’IFBPW (International Federation of Business and Professional Women). La fédération promeut, coordonne et soutient les initiatives des femmes qui opèrent dans les domaines des arts, des professions et des affaires, indépendamment ou en collaboration avec d'autres associations.

Membre de l’AFAEMME

Selena Italy (en anglais ou italien seulement)
SELENA ITALY Associazione di Promozione per l’Imprenditoria Femminile (Association de promotion de l'entrepreneuriat féminin) a été créée pour promouvoir l'entrepreneuriat féminin au niveau national et international. Elle se concentre sur :

Membre de l’AFAEMME

Women at Work Italia - W@WITALIA (en anglais ou italien seulement)
Women @ Work Italia est une association culturelle qui promeut l'entreprenariat féminin et apporte un soutien aux entrepreneures existantes ou aspirant à le devenir dans leur carrière professionnelle.

Membre de l’AFAEMME

Luxembourg

FFCEL
La Fédération des Femmes Cheffes d’entreprise du Luxembourg
contact@ffcel.lu

Pays-Bas

WEConnect International aux Pays-Bas (en anglais seulement)
Voir WEConnect International

Women in Business (en néerlandais seulement)
info@wib.nu
Women in Business est un réseau pour les femmes entrepreneurs actives qui souhaitent se développer et développer leurs entreprises. Ses membres se réunissent tous les deux mois.

Women’s Business Initiative International (WBII) (en anglais seulement)
La Haye
WBII est une association internationale de femmes entrepreneurs en quête de succès. Son objectif principal est de leur donner les moyens d'atteindre leurs objectifs professionnels en fournissant :

DigiDames  (en néerlandais seulement)
info@digidames.nl
Rotterdam – Les #DigiDames sont destinés aux femmes entrepreneurs qui ont besoin de soutien numérique dans la gestion de leur entreprise ou projet. Les formations ciblées fournissent des conseils de survie et un accompagnement dans la jungle numérique.

Network of Entrepreneurial Women World Wide (NEWWW)
info@newww.org
NEWWW est une association pour femmes d'affaires et entrepreneures dotes d’une vision du monde qui veulent engager un dialogue avec les femmes du monde entier, créer des relations solides et améliorer leur carrière grâce à ces connexions internationales. Elle a été officiellement lancée à Amsterdam en 2006 et compte des membres dans plus de 10 pays, dont l'Allemagne, l'Australie, le Cameroun, le Canada, les États-Unis, la France, la Mauritanie, la République démocratique du Congo, le Royaume-Uni, la Suisse, la Tunisie et la Türkiye.

AlleVrouwen Netwerken (en néerlandais seulement)
Ce site web fournit une vue d'ensemble et un point de connexion pour une variété de réseaux de femmes entrepreneurs dans des secteurs spécifiques tels que les services financiers, la construction, le commerce de détail et l'immobilier

VNO-NCW et MKB- Nederland (en néerlandais seulement)

beduwe@vnoncw-mkb.nl
Confédération de l'industrie et des employeurs néerlandais (VNO-NCW). L'Association royale néerlandaise des petites et moyennes entreprises, MKB-Nederland, a une section consacrée aux femmes entrepreneurs.

Portugal

Associação das mulheres empresárias em Portugal – (AMEP) – Association des femmes entrepreneurs au Portugal (en portugais seulement)

geral@amep.pt
L'AMEP réunit les femmes entrepreneurs au Portugal afin d'échanger les bonnes pratiques, de discuter de sujets divers - qu'ils soient d'intérêt général pour les femmes entrepreneurs ou par région/secteur – et de rencontrer des femmes du même regard pour renforcer l'image de l'entrepreneuriat féminin dans le pays. Le site web présente des informations pertinentes, des partenariats, l'engagement de l'AMEP dans des associations et mouvements internationaux, et les événements à venir.

Associação Nacional de Empresárias–Association nationale des femmes entrepreneurs (en portugais seulement)

info@ane.pt
Créée en 1990, l’association vise à soutenir l'autonomisation des femmes dans les entreprises. Elle fait participer les femmes au débat sur les grandes questions économiques et sociales et contribue à encourager les initiatives des femmes dans le domaine des affaires.

Mulheres à Obra – Les femmes au travail (en portugais seulement)
geral@mulheresaobra.pt
Une communauté de femmes entrepreneurs qui, en partenariat avec l'Universidadade Catolica, offre des conseils à celles qui souhaitent créer de nouvelles entreprises et/ou sont à la recherche de nouvelles perspectives ou d'alternatives financièrement viables.

WomenWinWin (en portugais seulement)
geral@womenwinwin.com
WomenWinWin est une organisation à but non lucratif basée au Portugal qui vise à créer un écosystème valorisant et renforçant l'esprit d'entreprise des femmes. Elle souhaite être reconnue positivement comme la communauté de référence des femmes entrepreneurs au Portugal grâce à la coopération, au développement des compétences et au partage des expériences.

Espagne

Asociación Aragonesa de Mujeres Empresarias y Profesionales (ARAME) (en anglais ou espagnol seulement)

Global Women Entrepreneur Network (GWEN- Barcelona) (en anglais ou espagnol)

xochiwildcoaching@gmail.com

« Nous sommes des femmes qui se réunissent dans de nombreuses villes du monde. Nous partageons nos expériences et nos succès dans le monde des affaires ». 269 membres.

Royaume-Uni

Arab International Women’s Forum (en anglais seulement)
L'Arab International Women's Forum a la caractéristique unique d’être la première et la seule organisation à but non lucratif créée à Londres pour mettre en relation les femmes d'affaires et les professionnelles arabes des 22 pays arabes, entre elles et avec leurs homologues de la communauté internationale. Il est basé à Londres.

Membre de l’AFAEMME

British Association of Women Entrepreneurs (en anglais seulement)
bawe@piercefield.co.uk
Un groupe de pairs pour les femmes entrepreneurs en quête de défis. Leur objectif : « mettre au défi les femmes entrepreneurs non seulement de bien faire, mais aussi de faire quelque chose d’exceptionnel ».

Everywoman
Depuis 1999, Everywoman est l'expert de la promotion des femmes dans les entreprises. Avec une présence dans plus de 100 pays et un réseau actif de plus de 20 000 membres, Everywoman est reconnue dans le monde entier comme l'organisation professionnelle qui favorise le développement des femmes à tous les niveaux.

Female Entrepreneur Association (en anglais seulement)
info@femaleentrepreneurassociation.com
Une plateforme en ligne qui encourage les femmes à créer des entreprises prospères. L'association propose aux femmes des vidéos hebdomadaires inspirantes, organise des masterclasses en ligne sur des sujets liés aux affaires, publie un magazine mensuel intitulé « This Girl Means Business » et propose une série de cahiers d'exercices imprimables gratuitement. Son siège se trouve à Stockport.

WEConnect Europe

Voir WEConnect International

WIBN – The Women in Business Network (en anglais seulement)

admin@wibn.co.uk

WIBN – The Women in Business Network – est une organisation associative pour les femmes qui souhaitent obtenir de nouvelles opportunités commerciales par le bouche à oreille. WIBN dispose d'un vaste réseau de groupes locaux au Royaume-Uni et en République d'Irlande. L’organisation offre aux femmes d'affaires un forum pour mettre en réseau les entreprises et rencontrer des personnes partageant les mêmes intérêts. L'adhésion à WIBN est ouverte aux propriétaires d'entreprises et aux femmes salariées. Son siège se trouve à Londres.

Women in Rural Enterprise (WiRE) (en anglais seulement)
info@wireuk.org
WiRE est un réseau national de soutien aux entreprises ; il promeut, soutient et développe ses membres, des femmes d'affaires venues de zones rurales à l'université Harper Adams dans le Shropshire. WiRE offre un ensemble de mesures pratiques de soutien aux entreprises, dont l'accès aux 50 réseaux WiRE du Royaume-Uni, où les femmes d'affaires partagent leur expertise et leurs connaissances, acquièrent de nouvelles compétences, aident à renforcer la confiance et se soutiennent mutuellement pour créer de meilleures entreprises. Ces réseaux sont basés dans le Shropshire.

Women Mean Biz  (en anglais seulement)
Réseau établi de femmes d'affaires et d'entrepreneures travaillant dans des entreprises en tout genre, des start-ups aux sociétés établies et aux grandes entreprises ; chaque groupe se réunit une fois par mois pour une session de deux heures pendant le déjeuner. Toutes les réunions suivent le format soigneusement élaboré de WMB, qui permet aux participantes d'échanger et de partager des idées, de nouer de nouveaux contacts, de créer alliances et partenariats et d'obtenir le soutien nécessaire pour faire avancer leur entreprise. Tous les membres sont automatiquement inclus dans la communauté d'affaires en ligne de WMB et obtiennent leur propre page de profil. WMB est basé à Bristol.

Pour de plus amples informations

Glossaire

Conseil consultatif : Organe informel d'experts qu'un entrepreneur peut utiliser comme caisse de résonance ou pour combler des lacunes en matière d'expertise et de contacts. Contrairement à un conseil d'administration formel, les conseils consultatifs n'ont aucune responsabilité juridique dans la gouvernance de l'entreprise.

Courtier : Entité indépendante agissant comme intermédiaire.

Marquage CE : Le symbole CE est apposé sur un produit par son fabricant avant sa mise sur le marché européen, afin de certifier que le produit a été évalué et est conforme à toutes les exigences de l'UE en matière de sécurité, de santé et de protection de l'environnement.

E-shoppers : Consommateurs qui achètent des produits ou des services sur internet.

Exportation et développement Canada (EDC) : EDC est une société d'État qui se consacre à aider les entreprises canadiennes à développer leurs activités à l'étranger. Organisme de crédit à l'exportation du Canada depuis 1944, elle met à la disposition des entreprises les outils suivants : connaissances commerciales, solutions financières, assurance et relations.

Pénétration sur internet : soit le pourcentage de la population totale of d’un pays ou d’une région donné(e) qui a accès à une connexion à internet.

Software as a Service : Modèle de distribution de logiciels dans lequel un fournisseur de services héberge des applications et les met à la disposition de clients sur le web par le biais d'un abonnement plutôt que de les installer sur des ordinateurs locaux.

Service des délégués commerciaux (SDC) : Le SDC aide les entreprises canadiennes à se développer en les mettant en contact avec ses programmes de financement et de soutien, ses débouchés internationaux et son réseau de délégués commerciaux dans plus de 160 villes du monde.

Missions commerciales : Voyage international de fonctionnaires et/ou de femmes et d'hommes d'affaires organisé par des agences gouvernementales nationales ou provinciales dans le but d'explorer des opportunités commerciales internationales.

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